• C'est le seul cygne à porter ses cygnons sur le dos


    Cette espèce n'est pas menacée.
    On dénombre une population de  26 000 à 100 000 individus


    Un couple adulte avec ses petits
    Il habite le sud de l'Amérique du Sud.


    Durant la période de nidification, les mâles deviennent très agressifs


    Parmi tous les cygnes, c'est celui qui est le plus maladroit à terre en raison de la brièveté de ses pattes.


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  • Les félins http://www.thebigcats.com/


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  • Ficus benjamina

    Règne : Plantae
    Sous règne : Tracheobionta
    Division : Magnoliophyta
    Classe : Magnoliopsida
    Sous classe : Hamamelidae
    Ordre : Rosales
    Famille : Moraceae
    Genre : Ficus
    Espèce : Benjamina
    Nom anglais : Weeping fig

    Linné 1753


    Cet arbre commence son cycle de vie à l'inverse des autres. Sa vie débute dans la canopée à l'endroit où un oiseau aura déposé une graine avec ces fientes .

    Lorsque cette graine germera, l'arbre entamera sa lente croissance comme épiphyte et lancera vers le sol de fines racines .

    Au moment où ces racines atteindront le sol , l'étrangleur changera totalement de processus de croissance .Grâce à l'apport en eau et minéraux, son développement se fera plus rapide et la plante enverra de nouvelles racines vers le sol . Ces racines-là seront enveloppantes et avec le temps recouvriront totalement le tronc de l'arbre porteur. Ce dernier privé de lumière périra petit-à-petit car la croissance de l'arbre étrangleur est beaucoup plus rapide que celle de son porteur.


    Si le tronc du figuier-étrangleur n'est pas encore assez solide lorsque l'arbre porteur sera mort , ils tomberont tout deux au sol! si le figuier est assez solide, seul celui-ci subsistera et l'espace libéré par le tronc de l'arbre mort fera place ,peu à peu ,à de nouvelles racines du figuier.

    Beaucoup de gens ignorent qu'ils ont un arbre étrangleur sur leur tablette de fenêtre.
    En effet, le très populaire " Ficus benjamina" est un figuier-étrangleur de l'Asie du Sud-Est. Dans la nature cet arbre peut atteindre une taille de 60 m de haut.


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  • Le

    poisson

    vache


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  •  
    27.000 chevaux sauvages menacés d'abattage

    - Un hélicoptère survole des chevaux sauvages dans le Nevada, en 2005 - AFP/Justin Sullivan -
    Un hélicoptère survole des cheveaux sauvages dans le Nevada en 2005

    Les autorités veulent abattre les mustangs de l'Ouest américain, en surnombre. Les défenseurs des animaux protestent

    Quelque 33.000 chevaux vivent en liberté dans une dizaine d'Etats
    américains. L'administration gérant les terrains publics fédéraux, le "Bureau of land management" (BLM), souhaite réduire leur population à environ 6.000.

    C'est la première fois depuis 1971 que l'Etat fédéral envisage un abattage en masse.

    Les mustangs de l'Ouest américains, lointains descendants d'animaux arrivés en Amérique du Nord avec les Espagnols, sont protégés depuis 1971. A cette date, le Congrès des Etats-Unis leur a octroyé le statut de "symboles vivants de l'esprit d'aventure historique de l'Ouest".

    Les autorités font valoir qu'une réduction de la population est nécessaire pour préserver l'équilibre écologique des terres sur lesquelles ils s'ébattent. Le ralentissement économique a aussi eu un effet négatif sur les adoptions de mustangs par les Américains, et les fermes d'accueil seraient surpeuplées.

    Dans le Nevada par exemple, un Etat largement désert, les autorités estiment à 40% la surpopulation des chevaux sauvages. Mais étant donné l'engorgement des centres d'accueil, les captures de chevaux ont dû être suspendues. Dans tout l'Ouest américain, ils seraient 33.000 mustangs à vivre en liberté, et également 33.000, capturés, à vivre dans des centres fermés gérés par l'Etat. 

    L'idée d'abattre les chevaux en surnombre ou de les vendre à des pays tiers pour leur viande hérisse les défenseurs des droits des animaux, qui affirment qu'on aurait jamais du en arriver là. 

    Cette perspective est "totalement choquante et complètement superflue", explique une responsable de la société protectrice des animaux américaine, Holly Hazard, qualifiant la situation actuelle de "catastrophe de gestion". Selon elle, le BLM a tardé à mettre en oeuvre un plan de contrôle des populations via une stérilisation pourtant demandée par les défenseurs des animaux.

    Une décision doit être prise avant la fin de l'année.

     


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