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  • Gray, 1842
    Colubridae

    Noms synonymes :
    Homalopsis hydrina (fide SMITH 1943)
    Hypistes hydrinus — GÜNTHER 1864: 287
    Hipistes fasciatus GRAY 1849 (fide SMITH 1943)
    Hipistes hydrinus — STOLICZKA 1870
    Hipistes hydrinus — SMEDLEY 1931: 54
    Bitia hydroides — SMITH 1943: 400
    Bitia hydroides — MANTHEY & GROSSMANN 1997: 318

    Nom allemand : Wasser-Schuppenkopf
    Nom anglais: Keel-bellied Water Snake

    Localisation : Birmanie, Thaïlande, Malaysie de l'ouest
    Description :
    C'est une espèce marine avec une petite tête, des dents agrandies, un cou étroit, des écailles ventrales réduites, et une queue légèrement aplatie comme celle des véritables serpents de mer.

    Si vous avez d'autres photos n'hésitez pas à me l'envoyer mais bon je doute que quelqu'un trouve


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  • Bothrochilus (anciennement Liasis) boa

    Nom anglais : Bismarck Ringed Python

     

    C'est un serpent de la famille des pythonidae. On le trouve à l'état naturel dans les îles de l'archipel de Bismarck au nord-est de la Nouvelle-Guinée.

    Carte de l'archipel de Bismarck
     
    Juvénile, il est annelé orange sur un fond noir et sa couleur adulte est moins contrastée et tend à foncer.
    C'est un animal nocturne, terrestre, que l'on trouve en plaine herbeuse et en fôrets.
    Il se nourrit de petits mammifères et lézards.
    Son caractère est variable.
    Il existe une phase orange.

    La taille minimale de la femelle pour la reproduction est de 1m20 de longueur. Après une baisse de température d'environ un mois, les mâles et femelles pourront être placés ensemble. Aprés 60 jours de gestation, la femelle pondra entre cinq et dix oeufs.

    56 à 65 jours d'incubation à 32°C seront nécessaires pour voir les petits sortir de leur coquille.

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  • Cet insecte a une taille comprise entre 17 et 20 mm.

    Ses élytres et son thorax sont verts avec des reflets métalliques. On distingue trois larges lignes saillantes sur chaque élytre.

    Le carabe doré ne vole pas car ses ailes postérieures sont rudimentaires comme chez la plupart des carabes. On le trouve en jardins et cultures, mais aussi en forêt.

    Espèce printanière, on peut la rencontrer du mois de mai à juillet.

    C'est un auxiliaire de culture car il consomme les "parasites" (limaces, escargots, carpocapse des poires et des pommes, de larves de coléoptères rhizophages (hannetons, taupins …)) il se nourrit également de lombrics qui eux ont un rôle bénéfique aux cultures.

    Il est mis en danger par les méthodes culturales actuelles : la suppression des feux de talus et la limitation des pesticides sont nécessaires à sa survie.








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  • La chasse aux dragons : Brady Barr connaît parfaitement les animaux qu’il étudie à savoir les serpents, les crocos ou encore les requins blancs. Mais ici, en Indonésie sur l’île de Komodo, il avance en terra incognita à la découverte du « dragon de Komodo ». Il va alors faire face au plus gros lézard du monde, un géant de 3 mètres, doté de griffes acérées et d’une dentition dévastatrice. « Un tueur !» hurle Brady. Poursuivi par six de ces monstres venus de la préhistoire, il est obligé de se réfugier au sommet d’un arbre.
    La chasse aux dragons

    Comment comptez-vous négocier avec l’un des plus grands crocodiles du Nil jamais vu dans la nature ou avec un serpent mortel dont le venin d’une morsure peut tuer 60 personnes ? Pour le Dr. Brady Barr, ce n’est juste qu’une journée de travail normale avec certains des reptiles les plus redoutables au monde.

    Dans L’attaque du Python, Brady Barr a attrapé, à mains nues bien sûr, un python réticulé. Enorme, ce serpent pèse plus de 100 kilos et mesure près de dix mètres. Ultra-puissant et rapide comme l’éclair, c’est le prédateur ultime. Si le python est le serpent le plus long du monde, c’est surtout un animal méconnu. Traqué pour sa peau, il vit caché et se terre dans des tanières obscures. En Indonésie, Brady va l’apprendre à ses dépens : dans une caverne à moitié inondée, un python l’attaque et le mord gravement à la jambe.


    Sous l’œil de l’hippo : Ne vous fiez pas à son apparence débonnaire. L’hippopotame est l’animal le plus meurtrier d’Afrique : deux tonnes de puissance et de rage. A la fois sous-marin de combat et tank terrestre, l’hippopotame du Nil est armé de canines de 40 centimètres et sa mâchoire exerce plus d’une tonne de pression. Pour l’approcher au plus près, le Dr. Barr se métamorphose en hippo, avec sur le dos une combinaison constituée de kevlar et d’anneaux en acier… Il va même jusqu’à imiter la sueur de l’animal… Et se rouler dans la boue pour mieux se camoufler…
    Sous l'oeuil de l' hippo
     

    Il prend plaisir à côtoyer et à taquiner les animaux les plus dangereux du globe. Mais il ne faudrait pas pour autant considérer l'homme comme complètement fou. Scientifique de formation et herpétologiste (spécialiste des reptiles) attitré de la chaîne avec plus de 60 documentaires à son actif, Brady Barr connaît suffisamment bien ces animaux pour ne prendre que des risques savamment calculés. Et ce même si son corps porte les stigmates de quelques étreintes animales un peu trop sauvages à son goût. « Je vieillis, je ne suis plus aussi rapide qu'avant, et ces serpents sont sacrément vifs... », avoue-t-il d'un air faussement détaché. Ses « exploits », filmés, sont nettement plus démonstratifs. Le but : déterminer quel reptile pourrait officiellement décrocher la palme de serpent le plus dangereux du monde. Est-ce celui dont la morsure peut vous broyer les os ou celui dont le venin est si puissant qu'il solidifie le sang humain ?
     

    Pour y répondre, Braddy Barr parcourt le monde depuis quinze ans pour aller capturer vivant, dans leurs trous, des spécimens aussi « sympathiques » que la vipère de Russell (qui vit en Inde ou en Indonésie et dont le venin dissout la chair et les veines), le mamba noir ou le taïpan du désert, dont une dose de venin neurotoxique peut tuer 100 hommes ou 100 000 rats !
    Et pas question de les étudier à travers une vitre. Brady Barr veut donner de sa personne et plonge la tête la première dans le terrier des serpents, seulement retenu par les pieds par un assistant. 
    Plus impressionnant encore, sur les rives d'un fleuve asséché de Tanzanie où croupissent parmi les plus grands crocodiles du monde, de véritables monstres semblant sortis tout droit de la préhistoire et mesurant près de 5 mètres de long. Là encore, Brady Barr s'approche au plus près. Pour ce faire, il s'est fait construire une sorte d'armature censée tromper la vigilance des prédateurs. Chaque expérience ayant vocation scientifique, il s'agit cette fois de coller une puce sur le corps de l'animal. « Si vous n'avez pas de chance, le crocodile s'enfuit, explique le scientifique. Et si vous n'avez vraiment pas de chance du tout, il charge ! »
    Évidemment, ce genre de film ne peut pas échapper à une certaine dramatisation censée maintenir le suspense sur l'issue de la confrontation entre l'homme et l'animal. Casquette de base-ball vissée sur la tête, jean et chemise couleur sable, Brady Barr a des faux airs d'Indiana Jones. Diplômé de l'université de Miami, l'aventurier ne craint visiblement aucune confrontation. Pas même celle des requins à qui il tend un « morsure-mètre ». Objectif : calculer quel animal possède la mâchoire la plus puissante. Serpents, loups, et autres marsupiaux vont mordre à l'hameçon. Résultat : le crocodile décroche la timbale avec 2,5 tonnes de pression

    Il est le seul a avoir capturé et étudié les 23 espèces de crocodiliens.


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