• Le monde.fr 21 décembre 2010

    photo_1205404802054-1-0.1291629398.jpgDéputés et sénateurs ont décidé, lundi 20 décembre à l’occasion de la commission mixte paritaire sur la loi de finances rectificative pour 2010, d’instaurer une taxe de 10 euros par kilogramme sur les sacs de caisse à usage unique en matière plastique non biodégradable. Mais son entrée en vigueur n’aurait lieu que le 1er janvier 2014.

    Il s’agit, selon les parlementaires, d’un “dispositif purement dissuasif” : la menace de l’application de cette taxation doit conduire à accélérer l’élimination de ces sacs.

    Le gouvernement, par la voix du ministre du budget, François Baroin, avait indiqué lors des débats au Sénat le 17 décembre, qu’il était opposé à cette mesure. “Nous considérons que le tarif retenu a un côté confiscatoire, qu’il s’apparente à une forme d’interdiction détournée, ce qui est contraire aux principes du droit communautaire”, avait expliqué M. Baroin.

    Les députés avaient adopté le principe de cette taxe dans le cadre du projet de budget pour 2011, avant que les sénateurs ne l’annulent afin “mieux” rédiger le contenu du dispositif. Charles de Courson (Nouveau Centre), l’auteur de cette proposition, avait indiqué qu’il s’agissait “d’éradiquer à peu près 1 milliard de sacs de caisse en plastique non biodégradable”. Il avait toutefois reconnu que le nombre de ces sacs a “diminué depuis 2002, passant de 10,5 milliards de sacs à 1 milliard en 2009″.


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  • Vespertillon en vol

     

    Système de pilotage d'éoliennes permettant d'éviter les collissions sur les pales de chauves souris.

    Dossier complet du système "chirotech" qui "chauve la vie" :P sur http://www.biotope.fr/index.php?theme=recherche


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  • ALU

    L'aluminium, un métal qui plombe la santé

    Présent dans les crèmes solaires, dans les cuisines ou dans les vaccins, l'aluminium a longtemps été considéré comme inoffensif.

    Présent dans les crèmes solaires, dans les cuisines ou dans les vaccins, l'aluminium a longtemps été considéré comme inoffensif. F. DURAND / SIPACLOSON / ISOPIX / SIPACRISTOFORI / SIPA

    SANTE Un ouvrage à paraître le 30 septembre évoque les risques sanitaires du produit pris à forte dose...

    Après l'âge du fer, du bronze ou de la pierre, voici venue l'ère de l'aluminium. Des trousses de maquillage aux assiettes en passant par les vaccins, il est partout. Pourtant, ce compagnon du quotidien n'a aucune vertu ni fonction biologique, comme le démontre la journaliste Virginie Belle, dans son ouvrage Quand l'aluminium nous empoisonne à paraître le 30 septembre. Au contraire, il nous empoisonne à petit feu. En 2003, L'Agence française de sécurité sanitaire, l'Institut de veille sanitaire et l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé ont rendu public un rapport sur «l'évaluation des risques sanitaires liés à l'exposition de la population française à l'aluminium». Tour d'horizon d'un produit qui inquiète.

    Cosmétiques et crèmes solaires. Rouges à lèvres, vernis, fonds de teint, crèmes de soins, plusieurs de ces produits en contact direct et continu avec notre peau renferment de l'aluminium. Une journée de crème solaire à la plage reviendrait ainsi à étaler sur sa peau, perméable, ne l'oublions pas, 1 g d'aluminium. Son action pourrait contribuer au vieillissement de l'épiderme, et être liée à l'incidence du cancer de la peau.

    Déodorants. En spray ou à bille, les déodorants antitranspirants peuvent contenir jusqu'à 20% d'aluminium. Ce qui pose de nombreuses questions, notamment sur le lien entre cancer du sein et aluminium. En 2007, des chercheurs britanniques ont mesuré la teneur en aluminium des tissus du sein de 17 patientes atteintes de cancers. La concentration était significativement plus élevée dans la région de la poitrine la plus proche de l'aisselle.

    Le plein au supermarché. L'aluminium est naturellement présent dans certaines céréales et autres légumes, mais les concentrations les plus élevées ont été relevées dans les biscuits, les produits laitiers et les aliments riches en sucre, produits pour lesquels l'ajout d'additifs alimentaires contenant des sels d'aluminium est autorisé. Autant de produits prisés par les enfants.

    Eau et maladie d'Alzheimer. En France et en Europe, c'est le sulfate d'aluminium qui rend l'eau potable transparente. En 2000, l'étude Paquid, réalisée dans les départements de la Gironde et de la Dordogne, a montré que le risque de contracter la maladie d'Alzheimer est 1,99 fois plus élevé dans les régions où l'eau contient plus de 100 µg d'aluminium par litre d'eau potable. Or, en France, la norme est de 200 µg, soit le double de ce taux d'alerte.

    Cuisine à haut risque. L'acidité ou le sel, conjugués à une cuisson à haute température peuvent faire migrer l'aluminium de la casserole ou du papier d'aluminium (papillote) aux aliments.

    Vaccins et nouvelle maladie. En France, 47% des vaccins commercialisés contiennent de l'aluminium, utilisé comme adjuvant pour renforcer leur action. Ce pourcentage monte même à 56% dans les vaccins destinés aux enfants de 0 à 2 ans. Un nouveau-né reçoit 2,46 mg d'aluminium directement dans les muscles lors de ses vaccinations. Or sa présence serait à l'origine d'une maladie, la myofasciite à macrophages. A ce jour, un millier de cas ont été identifiés. L'origine presque exclusivement française des malades s'expliquerait par la campagne massive de vaccination menée entre 1994 et 1998 contre l'hépatite B.

     

    Extrait du site 20minutes.fr


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